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Manque de volonté politique de changer les politiques et l’infrastructure en vigueur pour renforcer les interventions contre la violence à l’égard des femmes. Il en résulte des budgets insuffisants, des améliorations lentes ou inexistantes, et une formation tributaire de financements extérieurs, ce qui compromet la viabilité des programmes.
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La formation de nouveaux juges et procureurs et la formation continue des juges et procureurs en exercice risquent d’être insuffisantes pour ce qui concerne les principes internationaux des droits fondamentaux des femmes et la législation, les politiques et les procédures juridiques appliquées sur le plan national.
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Les acteurs (juges, procureurs, politiques et autres) pourraient avoir intérêt à maintenir le statu quo, aggravant ainsi la méfiance des femmes vis-à-vis du fonctionnement de la justice.
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Normes nationales de compétences professionnelles inexistantes pour les juges et les procureurs. À défaut d’une définition claire de critères professionnels, les nominations risquent d’être basées sur le népotisme ou les préjugés.
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Codes de déontologie détaillés inexistants pour les juges et les procureurs.
- Les codes de procédure pénale peut empiéter sur les droits des parties et devrait permettre des essais en temps opportun, les avocats, et d'autres droits fondamentaux.