Les partenaires des programmes de villes sûres pour les femmes devraient se tenir au courant des changements positifs et négatifs, des accomplissements, des difficultés et de nouvelles informations qui découlent de leur travail, par le biais du suivi et de l’évaluation. Le suivi est le processus par lequel on mesure la progression des programmes de villes sûres pour les femmes aux fins : a) de déterminer s’ils sont efficaces et b) de tirer des leçons des résultats obtenus. Le suivi est une démarche importante car il permet aux partenaires de décider quelles ont été les actions les plus utiles et les moins utiles aux femmes de la communauté. A partir de là, les partenaires pourront concentrer leurs ressources sur le financement des programmes les plus constamment efficaces et sur l’amélioration des programmes moins efficaces, et éliminer les programmes défaillants. Le suivi des actions programmatiques implique un accord préalable des partenaires sur le choix des indicateurs qui montreront si les changements escomptés se sont produits ou pas comme suite de ces actions. Un indicateur est un renseignement qu’il est possible d’enregistrer et de mesurer pour montrer la distance qui sépare une action donnée de la réalisation de son objectif; c’est une sorte d’instrument de mesure du changement. Il est très important de choisir les indicateurs qui correspondent véritablement au type de changements qu’un programme de villes sûres pour les femmes se propose d’obtenir. Parmi les indicateurs adaptés aux programmes de villes sûres pour les femmes, selon l’approche utilisée, on peut citer : l’utilisation des espaces publics par les femmes, la couverture médiatique locale des préoccupations sécuritaires des femmes, ou la participation des femmes aux activités de planification urbaine. On se souviendra que bien que les femmes et les filles de villes différentes affrontent des problèmes identiques, certains indicateurs pourront être très différents d’un endroit à l’autre.
Il convient de mentionner que la mesure du changement social associé aux relations entre les sexes est particulièrement difficile et qu’elle exige un suivi s’étalant sur plusieurs années. Les mécanismes de suivi ainsi que ceux d’évaluation doivent être soigneusement conçus et novateurs afin de déterminer les processus selon lesquels les changements se produisent et/ou les modifications induites dans les relations entre les sexes (Batliwala and Pittman, 2010).
Choisissez les indicateurs.
Il est utile que les partenaires des programmes s’entretiennent et conviennent des changements auxquels ils s’attendent à la suite de chaque action entreprise. Ils peuvent ensuite passer à la sélection et à la définition des indicateurs. Les indicateurs devront être choisis en fonction de leur importance et de leur utilité pour mesurer le changement dans le cadre d’une action ou d’un programme donné, et en fonction de la facilité avec laquelle il est possible de les collecter pendant la durée du programme. On pourra aussi se demander s’il est possible d’appliquer les indicateurs à plusieurs échelles (Whitzman 2008b, pp. 192-199), à savoir au niveau individuel, au niveau interpersonnel, au niveau du ménage, au niveau du quartier et au niveau de la ville, ainsi que dans le court terme et le long terme. A titre d’exemple, les partenaires des programmes qui s’intéressent à la sensibilisation de la communauté pourraient utiliser les indicateurs suivants pour mesurer la portée de leurs actions :
- Proportion de personnes au courant des droits conférés aux femmes par la loi;
- Proportion de personnes au courant des sanctions juridiques pour violence envers les femmes;
- Proportion de personnes ayant été exposées aux messages sur la violence envers les femmes;
- Proportion de personnes qui croient que les femmes attirent les agressions en raison de leur comportement ou la manière de s’habiller, ou en raison de l’endroit où elles se rendent et de l’heure de leur déplacement;
- Proportion de personnes qui croient que le harcèlement sexuel est acceptable et/ou ne nuit pas aux femmes;
- Proportion de personnes qui croient que les femmes et les hommes connaissent le même niveau de sécurité dans les lieux publics;
- Proportion de personnes qui croient que les hommes et les femmes utilisent les espaces publics de la même manière;
- Proportion de personnes qui affirment que les hommes ne peuvent pas être tenus pour responsables de leur comportement sexuel.
Adapté de S. Bloom (2008). Violence against Women and Girls: A Compendium of Monitoring and Evaluation Indicators [Violence à l’égard des femmes et des filles: Recueil d’indicateurs de suivi et d’évaluation], page 33. Chapel Hill, Caroline du Nord : MEASURE. Disponible en anglais.
Ressources :
Observatorio ciudades, violencias y género [Observatoire des villes, de la violence et du genre] (2010). Cette ressource en ligne, élaborée par le Réseau Femmes et Habitat avec l’appui d’UNIFEM et de l’AECID, vise à produire et à diffuser des informations sur la violence sexospécifique et sur l’insécurité des femmes en milieu urbain, à suivre et à analyser les effets et les impacts des politiques et programmes urbains en rapport avec le genre, et à produire de nouvelles connaissances sur la sécurité des femmes qui contribueront à l’adoption d’ordres du jour sociaux et politiques, en particulier au niveau local. L’Observatoire contient une matrice d’indicateurs en quatre parties sur la violence sexospécifique dans les villes. Cette matrice porte spécifiquement sur les domaines thématiques suivants : contexte institutionnel, diagnostic et mesure de l’impact de la violence sexospécifique, politiques et actions visant à prévenir et à éliminer la violence à l’égard des femmes, et communication et information sur la violence à l’égard des femmes. Disponible en espagnol.
2005 - 2009 Gender Sensitive Indicators in Seoul [Indicateurs sexospécifiques 2005-2009 à Séoul] (2010). Cette publication, provenant de la Fondation de Séoul pour les femmes et la famille, présente un ensemble d’indicateurs utilisé en Corée du Sud, à Séoul, pour mesurer et suivre les conditions de vie des femmes. Les indicateurs sont répartis en quatre catégories : autonomisation économique des femmes; intégration sociale des femmes des groupes minoritaires; expansion des droits sociaux et culturels des femmes; amélioration de la participation politique des femmes et de leur représentation en politique. Les appréciations des femmes relatives à la sûreté et à la sécurité en milieu urbain sont incluses dans ces indicateurs. Le document explique pour chaque indicateur l’importance de l’indicateur, la méthode de mesure appliquée et les résultats recueillis. Disponible en anglais.
Methodologies to Measure the Gender Dimensions of Crime and Violence [Méthodologies de mesure des dimensions sexospécifiques de la délinquance et de la violence] (Elizabeth Shrader, 2001). Banque mondiale – Section de l’égalité des sexes, Amérique latine et Caraïbes. Ce guide décrit les méthodes utilisées pour mesurer la délinquance et la violence sexiste. Les méthodes examinées sont : taux d’homicides, statistiques de criminalité, enquêtes de victimisation, enquêtes de prévalence, statistiques des services, connaissances, études de connaissances, attitudes et pratiques (CAP), sondages d’opinions, entretiens avec les victimes, groupes de réflexion, évaluation participative (rurale et urbaine), et autres. Chaque méthodologie est expliquée et ses avantages et inconvénients examinés. Disponible en anglais.
Indicadores Urbanos de Género - Instrumentos para la gobernabilidad urbana [Indicateurs urbains de genre - Instruments de gouvernance urbaine] (L. Rainero et M. Rodrigou, non daté). CISCSA – Réseau Femmes et Habitat de l’Amérique latine et des Caraïbes. Cet article décrit les modalités de développement des indicateurs, y compris un débat sur les motivations et l’utilité du processus. Il explique également les conceptions théoriques qui favorisent le développement des indicateurs urbains relatifs aux questions de genre. Le procédé de développement des indicateurs décrit dans ce texte s’est déroulé à l’occasion de la mise au point d’un formulaire d’enquête distribué aux femmes et aux hommes de certains pays de l’Amérique latine. Les questions du formulaire exploraient les manières dont les femmes et les hommes utilisaient les espaces publics, et comment les sentiments d’insécurité et l’insécurité réelle touchent les femmes plus que les hommes. L’article a été conçu dans le cadre du Programme Indicadores Urbanos de Género - Instrumentos para la gobernabilidad urbana, CISCSA – Réseau Femmes et Habitat de l’Amérique latine et des Caraïbes. Avec le concours du Bureau régional pour le Brésil et le Cône austral – UNIFEM. Disponible en espagnol.
« Developing Equality Objectives and Monitoring » guide in The Equality Standard for Local Government (Improvement and Development Agency (IDeA). 2007). Royaume-Uni. [Guide d’élaboration et de suivi des objectifs en matière d’égalité des sexes dans Critères d’égalité pour le gouvernement local]. Ce guide fournit des directives aux organismes gouvernementaux, notamment aux services de planification urbaine, sur la manière d’établir des critères d’égalité et de s’assurer qu’ils sont mis en pratique. Le manuel est présenté sous la forme d’un guide progressif assorti à chaque étape d’informations de base, de critères et d’exemples. Disponible en anglais.
Rappelez-vous que l’emploi d’indicateurs de violence envers les femmes peut avoir des conséquences d’éthiques.
Les partenaires des programmes de villes sûres pour les femmes peuvent recourir aux enquêtes, aux entretiens ou aux groupes de réflexion pour déterminer si leurs activités entraînent les changements espérés par rapport à un indicateur donné. Si l’indicateur en question a trait aux expériences de violence vécues par les femmes, celles-ci trouveront vraisemblablement difficile de répondre aux questions en raison des émotions qu’elles éprouvent. De plus, les entretiens sur des questions aussi sensibles, si elles ne sont pas menées avec la compétence et l’attention nécessaires, peuvent avoir pour effet de revictimiser les personnes interrogées. Par exemple, une femme maltraitée par son partenaire risque de déclencher la colère de celui-ci et de subir de nouvelles violences de sa part s’il apprend qu’elle a parlé à une tierce personne.
Il faut également savoir que les résultats de ce type d’entretiens, d’enquêtes et de groupes de réflexion ne sont pas tout à fait exacts du fait que certaines femmes ne sont pas prêtes à rapporter les incidents violents dont elles sont victimes en raison de la nature personnelle des faits. D’autres femmes ne mentionnent pas ces incidents parce qu’elles ne les considèrent pas comme anormaux ou immérités (Bloom, 2008, p.19). Ces attitudes ne doivent pas dissuader les partenaires des programmes d’utiliser les indicateurs reposant sur les expériences de violence vécues par les femmes et les filles : les récits personnels sont utiles et importants en ce qu’ils font connaître les perceptions féminines de la situation locale.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a développé une série de directives d’éthiques et de sécurité à l’intention des chercheurs qui travaillent avec les femmes victimes de la violence familiale, qui devront être appliquées en permanence dans le cadre des programmes de villes sûres pour les femmes. Le travail sur les indicateurs se rapportant aux expériences personnelles des femmes avec la violence doit suivre les principes suivants :
- La sécurité des personnes interrogées et des enquêteurs passe avant tout et doit inspirer toutes les décisions prises pour le projet.
- Les études sur la prévalence des actes de violence doivent être conduites selon une méthodologique rationnelle et mettre à profit les enseignements tirés des recherches actuelles sur les moyens de réduire le plus possible la sous-déclaration de la maltraitance et de la violence.
- Il est essentiel de préserver la confidentialité pour garantir à la fois la sécurité des femmes et la qualité des données.
- Tous les membres des équipes de recherche doivent être sélectionnés avec soin, recevoir une formation spécialisée et bénéficier d’un soutien continu.
- Des moyens d’atténuer au maximum le caractère éventuellement éprouvant de l’enquête doivent être inclus dans le plan de l’étude.
- Il faut que le personnel de terrain soit préparé à orienter les femmes qui sollicitent de l’aide vers des services et des structures de soutien locaux. Si ces moyens sont très limités, l’étude pourra être appelée à mettre en place un soutien à court terme.
- Les chercheurs et les donateurs ont l’obligation morale de veiller à ce que les résultats de leurs travaux soient correctement interprétés et utilisés pour favoriser la préparation de politiques et d’interventions.
- Les questions sur la violence ne devraient être intégrées à des enquêtes sur d’autres sujets que si les conditions à respecter en matière d’éthique et de méthodologie peuvent être satisfaites.
D’après l’Organisation mondiale de la santé (OMS) (1999) : Putting Women’s Safety First: Ethical and Safety Recommendations for Research on Domestic Violence against Women [La sécurité des femmes d’abord : Principes d’éthique et de sécurité recommandés pour les recherches sur les actes de violence familiale à l’égard des femmes]. Genève. Programme mondial pour les bases factuelles à l'appui des politiques de santé, Organisation mondiale de la santé.
Ressource :
Individual Consent Form from WHO Multi-Country Study on Women’s Health and Domestic Violence against Women (2005) [Formulaire de consentement individuel de l’Étude multi-pays de l’OMS sur la santé des femmes et la violence domestique à l’égard des femmes (2005)]. Cet exemple indique le type d’accord que tout chercheur doit solliciter pour l’utilisation d’informations d’ordre personnel provenant des femmes et des filles dans le cadre du processus de suivi des programmes de villes sûres pour les femmes.
ENCADRÉ 2.3 FORMULAIRE DE CONSENTEMENT INDIVIDUEL
Utilisé dans L’Étude multi-pays de l’OMS sur la santé des femmes et la violence domestique à l’égard des femmes
Bonjour, je m’appelle (*). Je travaille pour (*). Nous menons une enquête à (lieu de l’enquête) sur la santé des femmes et leurs expériences personnelles. Votre participation à l’enquête est le fait du hasard (tirage au sort/ou tombola).
Je tiens à vous garantir que les réponses que vous allez donner resteront strictement confidentielles. Nous ne détenons aucun fichier à votre nom ou adresse. Vous avez le droit d’interrompre l’entretien à tout moment, ou de ne pas répondre à certaines questions. Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réponse. Même si certains sujets sont difficiles à aborder, de nombreuses femmes ont jugé utile de pouvoir s’exprimer.
Votre participation est entièrement volontaire mais vos expériences peuvent avoir une grande utilité pour d’autres femmes de (pays).
Est-ce que vous avez des questions ?
(La durée de l’entretien sera d’environ (*) minutes). Est-ce que vous acceptez d’être interviewée ?
INDIQUEZ SI L’ENQUÊTÉE ACCEPTE D’ÊTRE INTERVIEWÉE
[ ] N’ACCEPTE PAS D’ÊTRE INTERVIEWÉE
REMERCIEZ LA PARTICIPANTE POUR SON TEMPS ET METTEZ FIN À L’ENTRETIEN.
[ ] ACCEPTE D’ÊTRE INTERVIEWÉE.
Êtes-vous prête à parler maintenant ?
Il est très important de pouvoir parler en privé. Est-ce que parler ici vous convient, ou préférez-vous aller ailleurs ?
À REMPLIR PAR L’ENQUÊTEUR
JE CERTIFIE AVOIR DONNÉ LECTURE DE LA PROCÉDURE DE CONSENTEMENT CI-DESSUS À LA PARTICIPANTE.
SIGNÉ_______________________________________________
Source : M. Ellsberg et L. Heise. 2005. Researching Violence against Women: A Practical Guide for Researchers and Activists. [Recherche sur la violence à l’égard des femmes: Guide pratique pour chercheurs et activistes]. PATH et Organisation mondiale de la santé. Washington, États-Unis. Disponible en ligne en anglais.
Nommez des personnes responsables du suivi des indicateurs.
Confiez à une ou plusieurs personnes la tâche de surveiller régulièrement les indicateurs pour évaluer la progression des activités des programmes de villes sûres pour les femmes. La tâche de suivi consiste à collecter les données relatives aux indicateurs (le but a-t-il été atteint ?), à comparer ces données à d’autres sources (l’information fournie a-t-elle un sens ?), à analyser leur signification (le projet réalise-t-il ses objectifs ? Y aurait-il des améliorations à apporter ?) et à communiquer les résultats aux autres partenaires des programmes de manière à ce qu’ils sachent ce qui marche et ce qui ne marche pas.
Consignez les actions de diverses façons.
Outre les indicateurs utilisés aux fins de suivi, les partenaires des programmes peuvent rassembler ou produire d’autres documents susceptibles de consigner l’évolution de leurs actions à mesure qu’elles se déroulent; les rapports d’étape analytiques en sont un exemple. Ils permettent aux partenaires des programmes d’enregistrer toutes les informations relatives aux actions menées, ce qui peut se révéler utile par la suite (opinions contradictoires, difficultés politiques, idées de nouveaux partenariats). La trousse d’outils de Raising Voices Mobilising Communities to Prevent Domestic Violence: A Resource Guide for Organizations in East and Southern Africa [Mobilisation communautaire pour la prévention de la violence familiale : Guide de ressources pour les organisations de l’Afrique de l’Est et de l’Afrique australe] propose que la documentation suivante soit utilisée aux fins de suivi (p. 73-74).
Exemples :
Notes des réunions : Les notes des réunions consignent les réunions que le personnel d’encadrement a toutes les semaines avec chaque service stratégique et permettent de suivre la progression et la fiabilité des activités en cours.
Date : |
Page de Présents: |
Notes de réunion |
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Point à l’ordre du jour |
Principaux points des débats |
Décision / Mesure à prendre |
Personne responsable |
Calendrier |
Notes de suivi |
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Source : Michau, Lori et Dipak Naker. 2003. Mobilising Communities to Prevent Domestic Violence: A Resource Guide for Organizations in East and Southern Africa. Raising Voices, Kampala (Ouganda). Disponible en anglais.
Rapports d’activité : Les rapports d’activité sont de simples formulaires remplis par les membres du personnel, les experts, les bénévoles locaux et d’autres personnes participant à la collecte d’informations détaillées sur la mise en œuvre, les résultats et les leçons tirées de chaque activité.
Rapport d’activité
Activité réalisée…………………………………………………………….
Par/Service…………………………………………………………………………….
Date et heure………………………………………………………………………….
Lieu………………………………………………………………………………………..
Auditoire (nombre de personnes)……………………………………….
Matériel d’apprentissage distribué (nature et quantité)……………
Objectifs
Réalisations
Difficultés
Leçons à retenir
Suite à donner (s’il y a lieu)
Source : Michau, Lori et Dipak Naker. 2003. Mobilising Communities to Prevent Domestic Violence: A Resource Guide for Organizations in East and Southern Africa. Raising Voices, Kampala, Ouganda. Disponible en anglais.
Rapports stratégiques sommaires : La ou les personne(s) chargée(s) de la mise en application de chaque stratégie pourront établir un rapport stratégique sommaire à l’issue de chaque étape. Un tel rapport consiste en un résumé des activités menées, des succès obtenus et des difficultés rencontrées et contient des recommandations pour la phase suivante.
Rapport stratégique sommaire
Phase :
Période :
Activité |
Nombre de fois réalisée |
Lieu |
Quantité de matériel d’information distribué (par type) |
Nombre de personnes touchées
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Résumé du service administratif
Réalisations majeures
Difficultés majeures
Informations supplémentaires / Notes
Source : Michau, Lori et Dipak Naker. 2003. Mobilising Communities to Prevent Domestic Violence: A Resource Guide for Organizations in East and Southern Africa. Raising Voices, Kampala (Ouganda). Disponible en anglais.
Rapports d’étape : Les rapports d’étape consignent les leçons tirées à chaque phase. Le coordonnateur du projet peut compiler les rapports stratégiques sommaires pour établir un rapport d’étape global circonstancié. Ces rapports sont importants pour documenter le déroulement du projet.