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Suivi de la capacité de coordination

Dernière modification: July 03, 2013

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  • Un suivi permanent des mécanismes de coordination doit garantir que les efforts de coordination déployés permettent de satisfaire les objectifs définis. L’outil suivant peut être utilisé pour évaluer l’efficacité perçue avec laquelle les acteurs de la coordination atteignent les objectifs fixés. Les partenaires de la coordination peuvent utiliser cet outil d’auto-évaluation pour évaluer les travaux du groupe de coordination.

ÉVALUATION : Structures de coordination des interventions en matière de violence basée sur le genre dans les situations de crise humanitaire

 

1. Existe-t-il une structure de coordination de la violence basée sur le genre dans le pays dans lequel vous travaillez ? (Oui/ Non)

 

a.

Fréquence des réunions (au niveau national) :

b.

Fréquence des réunions (au niveau infranational) :

c.

Participation (cochez la ou les cases correspondantes)

Nations Unies

ONG nationales

ONG
internationales

Croix-Rouge

Autorités nationales

Autres (précisez)

 

National

 

 

 

 

 

 

 

Infranational

 

 

 

 

 

 

 

2. Efficacité des activités du groupe de travail consacré à la violence basée sur le genre :

Veuillez attribuer une valeur sur une échelle de 1 à 5 (1 étant la valeur la plus basse) à chacune des activités ci-après.

 

1

2

3

4

5

S/O

a. Cartographie et actualisation du QQO (Qui, Quoi, Où) pour les actions de prévention et de réponse à la violence basée sur le genre

 

 

 

 

 

 

b. Création d’un organe pour le partage des informations relatives aux activités, aux défis de la programmation, à la planification des activités interinstitutionnelles, etc.

 

 

 

 

 

 

c. Élaboration d’un plan de travail ou d’un cadre stratégique interinstitutionnel pour favoriser la cohésion et réduire le chevauchement

 

 

 

 

 

 

d. Établissement de procédures opérationnelles permanentes – POP (par exemple, pour formaliser les mécanismes de référence, garantir la responsabilité de plusieurs organismes, etc.)

 

 

 

 

 

 

e. Définition claire des rôles et responsabilités de chacun des différents partenaires (cette activité peut être réalisée lors de l’établissement des POP, le cas échéant)

 

 

 

 

 

 

f. Mise en place d’un système de collecte d’informations (normalisation des formulaires, création de protocoles de partage des informations, analyse des données agrégées, application de la boucle de rétroaction, etc.)

 

 

 

 

 

 

g. Élaboration d’un plan de plaidoyer pour la mise en relation avec les autorités gouvernementales, les donateurs, les médias et les autres acteurs concernés

 

 

 

 

 

 

h. Documentation et diffusion des informations relatives aux meilleures pratiques et aux enseignements tirés à l’attention de divers organes

 

 

 

 

 

 

i. c.-à-d. formation, assistance technique et mise en œuvre d’autres initiatives de renforcement des capacités (notamment avertir les autres acteurs concernés des possibilités de formation/renforcement des capacités)

 

 

 

 

 

 

j. Participation à des missions de terrain multisectorielles et interinstitutionnelles en vue d’évaluer les réussites et les difficultés rencontrées par les programmes et d’identifier les lacunes des programmes de lutte contre la violence basée sur le genre

 

 

 

 

 

 

k. Identification des lacunes relatives aux ressources et plaidoyer en faveur de l’augmentation du financement nécessaire pour combler ces lacunes (par ex. dans le cadre du financement de l’aide humanitaire)

 

 

 

 

 

 

l. Collaboration active avec les groupes de travail des groupes sectoriels/secteurs concernés pour garantir l’intégration des questions liées à la violence basée sur le genre dans toutes les interventions humanitaires

 

 

 

 

 

 

m. Soutien du développement interinstitutionnel du matériel IEC pour garantir la cohérence des messages et réduire le chevauchement des activités

 

 

 

 

 

 

n. Organisation de campagnes de sensibilisation à la violence basée sur le genre, par exemple à l’occasion des 16 jours d’activisme contre la violence à l’égard des femmes)

 

 

 

 

 

 

o. Identification et mobilisation de partenaires pour les activités de protection, tels que des acteurs intervenant dans le domaine de la sécurité et de l’état de droit)

 

 

 

 

 

 

p. Autres (précisez)

 

 

 

 

 

 

 

2. Qualité des partenariats/de la participation :

Veuillez attribuer une valeur sur une échelle de 1 à 5 (1 étant la valeur la plus basse) à chacun des critères d’évaluation de la qualité des partenariats/de la participation.

 

1

2

3

4

5

S/O

a. Égalité : respect mutuel entre les membres, indépendamment de la hiérarchie et de l’importance du groupe

 

 

 

 

 

 

b. Transparence : dialogue, consultation préliminaire et partage régulier des informations

 

 

 

 

 

 

c. Approche orientée vers les résultats : coordination basée sur la réalité et orientée vers l’action

 

 

 

 

 

 

d. Responsabilité : engagement des partenaires dans les activités si et quand ils disposent des moyens et des capacités nécessaires

 

 

 

 

 

 

e. Complémentarité : les actions s’appuient sur les atouts propres et favorisent les capacités locales

 

 

 

 

 

 

 

3. Quels sont les trois (3) principaux éléments (positifs ou négatifs) qui ont eu une incidence sur l’efficacité du groupe de travail/système de coordination de la lutte contre la violence envers les femmes ?

1.

2.

3.

 

Source : FNUAP, 2011. Curriculum Guide for Coordination of Multi-Sectoral Response to Gender-Based Violence in Humanitarian Settings, p. 77-78.