Étant donné la méfiance générale envers la police et la collaboration limitée qui caractérise souvent les relations entre les personnels en uniforme et les organisations de femmes, ainsi que les survivantes elles-mêmes, il est impératif que la police s’emploie à renforcer les relations au moyen de communications ouvertes et en démontrant sa volonté de lutter contre le problème. Elle pourra peut-être ainsi réduire les perceptions négatives dont elle fait l’objet de l’extérieur et accroître la capacité des personnels à agir au sein des communautés et à mieux appréhender les préoccupations et les besoins de sécurité des femmes et des filles.
Les programmes doivent promouvoir l’établissement de communications ouvertes qui autonomisent les survivantes et les communautés
Dernière modification: December 29, 2011